L’un : « gratter la terre des sédiments de savoir »
L’autre : « gratter au ciel la fidélité des féaux. »
Un homme frémit, rit ou pleure ; l'émotion gagne le lecteur ; un paysage s'imprime sur son cortex par les mots du livre ; une pensée rassemble les idées en une cohérence fondamentale ; une pulsion s'extrait du lecteur, chaude et distante. Ce moment précieux est l'instant du butin. En son nom, inclos de générations de romanciers, de poètes et de journalistes, se tient la manne enthousiasmante des révélations posées en une somme d'Aïdos, associées, dissociées, mêlées : Butin, malice et loi.
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